L’écotourisme : comment limiter son impact écologique en voyageant ?
Cette tendance également appelée « tourisme vert » est centrée sur la découverte de la nature. Les éco-touristes sont respectueux de l’environnement et effectuent des activités responsables en faveur du développement durable. Cette forme de tourisme préserve la biodiversité et les espaces culturels mais respecte aussi la population locale. Les transports verts comme le train, le vélo ou le cheval y sont favorisés.
Le slow tourisme : cool Raoul !
Nouvelle forme de voyage, le slow tourisme ou « tourisme lent » consiste tout simplement à prendre le temps de découvrir une destination. Fini la course aux musées et aux excursions en tous genres pour « ne rien manquer », aujourd’hui, on prend le temps de visiter et on apprécie l’instant présent ! Le slow tourisme c’est également voyager autrement, se rapprocher de la population locale et opter pour des déplacements plus verts. Alors maintenant on prend le temps de vivre, on se laisse aller et on privilégie la qualité à la quantité ! Découvrez notre article : « comment devenir un slow-voyageur ? »
Les Insta holidays : « regardez-moi, j’y suis ! »
Les réseaux sociaux, eux aussi, influencent les vacances et les activités touristiques. Selon une étude britannique, 40% des moins de 33 ans considèrent que « l’instagramabilité » du lieu est un facteur important pour choisir une destination. Certains touristes privilégient alors des destinations aux paysages de rêve pour afficher leurs souvenirs sur les réseaux sociaux tels Instagram ou Snapchat.
Le tourisme créatif : favoriser l’effet Waouh !
Aujourd’hui, le touriste est en perpétuelle quête de nouvelles expériences à vivre. Il ne veut pas seulement être spectateur du lieu qu’il visite mais souhaite participer activement à son voyage. Créer un lien avec la population locale et réaliser des activités participatives sont des expériences uniques, de plus en plus convoitées.
Les « mini-vacances » : « have a break… »
Poser des congés, planifier entièrement le séjour, organiser des activités et trouver un logement tout en gérant un budget, tant de contraintes qui poussent les touristes et vacanciers à abandonner les longs séjours. Ils privilégient alors les « mini-vacances » et les courtes escapades, le temps de s’évader quelques jours.
Le tourisme solidaire et équitable : favoriser le développement des communautés locales
Solidarité et engagement sont mis à l’honneur ! Les touristes recherchent davantage de contact humain et de moments de partage. Fini les hôtels et les réservations en agence, faites place à l’authenticité ! Il s’agit par exemple de vivre chez l’habitant (Couchsurfing), d’échanger sa maison pendant les vacances, comme avec HomeExchange et TrocMaison ou de louer à des particuliers sur des applications comme FairBNB.